État des lieux des pratiques et usages
« Le rôle de l’Ordre est de fournir une information aux patients comme aux médecins en mettant l’accent sur les aspects bénéfiques de certaines médecines alternatives et complémentaires et en prévenant les patients des risques de dérives en tout genre. »
Dr René Luigi, conseiller national de l’Ordre des médecins, vice-président de la section Santé publique
Médecines alternatives et complémentaires…
Le Conseil national de l’Ordre des médecins a délibérément choisi d’utiliser le terme « médecines alternatives et complémentaires », reprenant ainsi l’appellation utilisée en Europe et dans les pays anglo-saxons.
...
et les traditionnelles ?
L’OMS utilise quant à elle le terme de médecine traditionnelle et complémentaire (MT/MC).
Attention, risque de confusion
Les termes « médecine » ou encore « docteur » ne sont pas protégés malgré les demandes répétées de l’Ordre des médecins adressées au ministère en charge de la Santé.
De ce fait, ils peuvent être utilisés de façon ambiguë par des non-professionnels de santé.
Pour vérifier avec certitude qu’un praticien est bien médecin, vous pouvez vous renseigner auprès de l’Ordre des médecins, qui propose d’ailleurs, sur son site Internet, un outil de recherche.
Plus de 400 pratiques thérapeutiques sont recensées par l’OMS dans la famille des médecines dites « alternatives », « complémentaires » ou
« traditionnelles ». Un nombre qui ne cesse d’augmenter.
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